Vous vous demandez sûrement pourquoi une partie de la chanson de Corneille a été postée à la fin de l’étude de dimanche dernier ?

• Le magnétisme de l’Homme et la méchanceté dans le monde

C’est parce qu’on peut s’approprier certaines paroles de la chanson de la manière suivante :

(Tirée de la chanson de Corneille, les Marchands de rêves)

« On arrive, tant d’autres nous suivent, on n’est plus qu’à quelques pas, on est par milliers » : Oui, on avance, on rencontre le trajet d’autres sur Internet qui pensent comme nous, certains nous suivent, même de très loin sans se mouiller plus mais qu’importe, on sera sûrement des milliers, c’est ce nombre qu’on peut espérer et ça sera déjà bien compte tenu de l’ampleur du travail à abattre pour une déconstruction spirituelle, intellectuelle, physique puis pour tout reconstruire sur des bases saines… !

« On n’est pas encore prêt mais si on revient ça ne sera pas la main et la tête vide » : Effectivement, ils nous manque à reconsidérer beaucoup de choses, tant de choses sur la Grande Mère et notre rôle véritable !

* * * 

On peut aussi écouter la chanson « Le bon Dieu est une femme » du même chanteur ; la chanson parle d’elle-même !

La terre saigne depuis la nuit des temps
De grandes misères et de guerres souvent
Et pour chaque soldat qui rentre,
une femme attend
Les hommes, les pires et les tout-puissants
Les pires bourreaux et même Adolf vivant
Avaient tous au moins une femme qui
les aimait tant

Quand c'est pas une soeur, c'est une mère qui aime
Et quand c'est pas une mère, c'est l'épouse qui aime
Et quand c'est pas l'épouse, c'est une autre femme
Ou une maîtresse qui espère alors

(Refrain:)
Si c'est vrai qu'elles nous pardonnent tout
Si c'est vrai qu'elles nous aiment malgré tout
Si c'est vrai qu'elles donnent aux hommes le jour
Moi je dis, que le bon Dieu est une femme 

Nos mères paient depuis la nuit des temps
Depuis l'histoire de la pomme d'Adam
Elles portent les maux et les torts du monde tout leur vivant
Le ciel bénissent la femme qui aime encore
Un infidèle jusqu'à la mort
Il faut être Dieu pour être trahi et aimer plus fort

Quand c'est pas une soeur, c'est une mère qui aime
Et quand c'est pas la mère, c'est l'épouse qui aime
Et quand c'est pas l'épouse, c'est une autre femme
Ou une maîtresse qui espère alors

(Refrain)

Si l'or du monde était dans les mains d'une femme
On lui ferait la cour pour l'avoir
Imagine les hommes s'ils n'avaient qu'à chanter l'amour pour avoir

(Refrain)

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Il y a la chanson de Christophe Maé : « Un peu de Blues » 

Il dit quand même à 2 reprises "Oh Sainte Mère", comme quoi on peut arriver à l'interpeller notre Déesse. Souvent, en effet, les mots courants comme "Ah seigneur", "Bon dieu"... sortent de nos bouches. On peut soupirer et dire "Ah Sainte Mère" "Ah Mère Divine"...  

ça viendra avec le temps et avec la conviction qu'on n'ira pas en enfer parce qu'on parle de Déesse